Archives de l’auteur CMA

ParCMA

Covid-19 & grossesse

COVID-19 et grossesse
On peut penser que vu les modifications immunologiques durant la grossesse, la susceptibilité d’attraper la maladie puisse être plus élevée chez une femme enceinte voire plus grave comme cela a été constaté pour d’autres coronavirus. Certains médicaments utilisés pendant le COVID-19 sont en plus contre-indiqués pendant la grossesse.
Néanmoins, selon l’OMS, les femmes enceintes ne semblent pas présenter un risque plus élevé de contagion et de maladie grave COVID-19.
Il n’existe actuellement aucune différence connue entre les manifestations cliniques de COVID-19 chez les femmes enceintes et non enceintes.
Mais les données exactes de COVID-19 sur la grossesse sont rares, particulièrement concernant l’effet potentiel du virus en début de grossesse, donc ces observations ont un niveau de certitude faible.
Des cas ont été décrits de transmission de la mère à l’enfant (verticale), sans que l’on constate d’effet grave pour le nouveau-né.
Les conditions du suivi de votre grossesse, de votre accouchement et de l’allaitement seront soumises aux recommandations actualisées qui sont évolutives en fonction des nouvelles études et observations
Il faudra également tenir compte des données de l’épidémie et des recommandations gouvernementales.

Lien : Site du RGCO (Royal college of obstetricians and gynaecologists
https://www.rcog.org.uk/globalassets/documents/guidelines/2020-04-17-coronavirus-covid-19-infection-in-pregnancy.pdf

 

Lien supplémentaire : 

ParCMA

Consignes importantes avant toute reprise de rdv

Questionnaire COVID-19 + Code de conduite

Avant votre visite au CMA, nous aimerions que vous preniez connaissance du questionnaire suivant.
Si vous avez coché une des cases, contactez votre médecin référent pour décider de l’opportunité d’un éventuel report ou adaptation de la visite.
Avez-vous un des symptômes suivants :
° Fièvre >= 38°
° Toux sèche ou productive
° Difficultés respiratoires
° Douleurs musculaires et/ou articulaires diffuses
° Mal de tête inhabituel
° Rhume et mal de gorge
° Perte du goût et/ou de l’odorat
° Diarrhée, nausées ou vomissements
° Contact avec un patient COVID-19 endéans les 14 derniers jours

CODE DE CONDUITE ( https://www.sciensano.be/fr)
0 Le Respect des mesures d’hygiène et des gestes barrières dans votre vie privée, publique et lors de votre visite
0 Le respect strict des heures de rendez-vous
0 Le port du masque + le lavage des mains au gel hydro-alcoolique au début et à la fin de la consultation
0 Venir seul ou limiter au maximum les accompagnants (pas d’enfants admis dans le centre)

ParCMA

Calcul des apports calciques quotidiens

Prenez connaissance de tout ce qui concerne l’ostéoporose par ICI

ParCMA

Ménopause Café

Une question à propos de la ménopause? Besoin d’en parler?

Rejoignez la page « Ménopause Café » sur Facebook.

 

ParCMA

NIPT

Test prénatal Non-Invasif (TPNI/NIPT) des trisomies 21, 18 et 13

Plus de détails sur le Test Prenatal Non Invastif

ParCMA

La congélation d’ovocytes

Envie d’enfant ou de carrière? Maintenant ou plus tard? Quel père pour mon enfant? Peur de regretter?

Cela peut sembler lointain, mais un jour vous souhaiteriez peut-être fonder une famille. Vous avez probablement, en ce moment, d’autres priorités, mais vous pouvez déjà réaliser certaines démarches.

Envie d’en savoir plus? Consultez le site : Un bébé quand je serais prête

ParCMA

Ressource utile

Le site web Gyn&Co by Mithra regroupe beaucoup d’astuces et d’articles intéressants à lire dans le cadre de sa grossesse : https://www.gynandco.be/fr/accueil-grossesse/

ParCMA

L’oncofreezing

Selon l’Inami, en 2018, 524 patients, 177 femmes et 347 hommes, ont déjà fait congeler leur matériel reproductif. Un chiffre vraisemblablement lié au fait que depuis 2017, cette technique est intégralement remboursée. La ministre De Block a débloqué 4 millions par an pour ce faire.

© PHOTOPQR/LA VOIX DU NORD
 » L’annonce d’un diagnostic de cancer est une épreuve terriblement lourde à vivre « , précise Maggie De Block.  » Si en plus, on vous annonce que vous devrez renoncer à votre désir d’avoir un jour un enfant, c’est un double cauchemar. Nous voulons éviter ces soucis supplémentaires en remboursant l’oncofreezing. Les patients doivent pouvoir se concentrer à 100 % sur leur guérison. Si par la suite, ils souhaitent renouer avec leur désir d’enfant, c’est possible.  »

177 femmes et 347 hommes
En 2018, 524 patients – 177 femmes et 347 hommes – ont fait congeler leur matériel reproductif, ressort-il des chiffres de l’INAMI. Il s’agit de patients atteints d’un cancer qui ont dû subir un traitement lourd, comme de la chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie ou une combinaison de ces traitements.  » La plupart d’entre eux étaient atteints d’affections hématologiques malignes, comme la leucémie ou un lymphome « , précise le cabinet De Block.  » Les autres affections courantes étaient le cancer du sein et le cancer des testicules. Sur ces 524 patients, 73 étaient âgés de moins de 16 ans.  »

L’année dernière, la ministre De Block a étendu le remboursement à trois groupes supplémentaires de patients : les femmes atteintes d’une tumeur borderline de l’ovaire, les patients qui doivent subir une greffe de cellules souches en raison de maladies sanguines rares comme la thalassémie ou la drépanocytose et les hommes atteints d’un cancer des testicules qui doivent uniquement subir une chirurgie, sans chimiothérapie ou radiothérapie supplémentaire. Début 2019, les centres de reproduction humaine ont commencé à pratiquer l’oncofreezing pour les patients de ces trois groupes.

Cette technique concerne principalement des patients jeunes qui, risquant de voir leur matériel reproductif altéré par la chimiothérapie, décident de se le faire prélever et congeler pour une utilisation ultérieure. Ils peuvent ainsi espérer être père ou mère plus tard.

3.500 euros
Or le coût varie entre 1.300 euros pour la congélation de spermatozoïdes et 3.500 euros pour congeler des ovocytes… En 2017, la ministre de la Santé publique a donc décidé le remboursement intégral de cette technique en y affectant 4 millions par an.

 » Les patients qui souhaitent faire congeler leur matériel génétique de reproduction peuvent se rendre dans un des 18 centres spécialisés dans notre pays. La liste de ces centres est disponible sur ce site internet (Liste centres B) « , indique la Santé publique.

Source : https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/524-patients-concernes-par-l-oncofreezing-en-2018/article-normal-42945.html?fbclid=IwAR2qkIDpA8EPM-GqVcW0krXD0u2gkRqrNlSKz8uAsUm8tD9JWMDsxycoVes&cookie_check=1571379755

ParCMA

Les symptômes de la ménopause

La ménopause, c’est quoi ?

La ménopause n’est pas une maladie, c’est un processus physiologique naturel qui marque la fin de la période féconde chez la femme. En d’autres termes, la ménopause signifie l’arrêt définitif des règles.

En moyenne, la ménopause survient à la cinquantaine. Néanmoins, chaque femme peut vivre sa ménopause plus tôt ou plus tard : il existe donc des ménopauses précoces (aux alentours de 40 ans) et des ménopauses tardives (après 55 ans).

L’hérédité joue un rôle important dans ce processus : l’âge auquel les autres femmes de votre famille ont été ménopausées peut donc être considéré comme une indication.

Comment reconnaître la ménopause?
Le diagnostic de la ménopause est très simple : vous n’avez plus été réglée depuis plus d’un an. Dans votre corps, vos ovaires ont libéré leurs derniers ovules et ne sécrètent plus d’hormones féminines.
Ce diagnostic doit évidemment être confirmé par votre gynécologue qui fera avec vous les examens nécessaires.

Pour savoir si vous êtes ménopausée, un test sanguin effectué auprès de votre gynécologue permet de mesurer le taux de FSH (l’hormone folliculostimulante). Selon les résultats de ce test, votre gynécologue pourra déterminer s’il est encore utile ou non de continuer votre contraception.

Quels sont les symptômes?

Très souvent, différents symptômes précèdent la ménopause durant une période de 4 à 5 ans. Mais c’est 2 ou 3 ans avant la ménopause qu’une femme entre en période de périménopause : les ovaires sécrètent des hormones et libèrent les ovules de manière irrégulière, ce qui peut amener son lot de conséquences sur le plan physique, mais aussi émotionnel.

Quels sont les traitements possibles?

Il existe des solutions pour apaiser les femmes particulièrement touchées et gênées par certains des symptômes précités :

Le traitement hormonal substitutif qui va remplacer les hormones qui font défaut suite à l’arrêt de l’activité ovarienne de la femme. L’objectif ? Rétablir un certain équilibre hormonal.

- Il existe aussi d’autres alternatives comme la phytothérapie, ou encore l’homéopathie.